META TexteS : 1a, 2a, 3A, 4A, 5A, 6A, 7A, 8A ; 2B, 3B, 4B, 5B, 6B, 7B, 8B ; 1C, 2C, 3C, 4C, 5C, 6C, 7C, 8C ; 1D, 2D, 3D, 4D, 5D, 6D, 7D, 8D ; 1E, 2E, 3E, 4E, 5E,

6E, 7E, 8E ; etc ...


ARTICLE 1A,


QUAND LA PREMIèRE SYLLABE DU MOT OR’‘IGINE,

IL EST DU DOMAINE DES POSSIBLES DE CHOISIR COMME Règle

la règle d’or comme un des points de départ.


cette règle n’est pas utilisée sur les proportions du cercle seul

mais il était intéressant d’appliquer cette règle au cercle seul

avec comme éléments complémentaires la corde et le diamètre

ou double rayon.


autre élément intervenant dals les applications utiles

à l’établissement des règles d’usage pour la mise en oeuvre

du travail meta graphic :


passage du carré au cercle

passage du rationnel au sensible

équilibre entre le masculin et féminin

sortir du cadre

création de la mobilité, et du MOUVEMENT,


création et usage de la corde ( terme mathématique)

afin de créer un lien entre chaque élément

appelé alphabet meta graphic.


alphabet composé de 8 caractères

sachant que lorsque le chiffre 8 s’épanche

le signe devient le symbôle de l’infini.


Calculer de manière mathématique les rapports

entre cercle, corde, diamètre, et rayon du cercle

nous porte tout naturellement au n’ombre

d’or.


article 2a,


dessiner un signe, un graphe dans le silence du temps

qui l’espace d’un instant y reste suspendu,

reste une voie possible,                                    et là,

se produit le mystère du dessein.
Puis le signe s’absente, pour nous montrer le fond.


le fond nous montre son mur, voire son relief.


le mur murmure du sens, du sens pluriel, multiple,

en mue.


le champ, le chant des images, des couleurs, des peintures,

des dessins, et des photographies s’étend à la surface du temps.


l’espace pour l’instant reste absent, seul le temps se répand en

couches successives sous la forme d’une fresque meta graphique,


reste au spectateur de se situer dans un premier temps à une

distance suffisante pour que sa vision couvre le champ visuel global de l’oeuvre en cours,


puis ce même spectateur de s’avancer à mi-chemin de façon à

y aller voir de plus près,

et enfin de s’approcher au plus près de la fréquence,

de telle sorte que ce spectateur devienne le lecteur des différentes

phrases meta graphiques donnant à lire des formes, des graphes,

à l’infini.


c’est ainsi que par le mouvement du spectateur

face à ce travail, perpendiculaire à la  fresque,

qu’il peut assister aux différentes mues de cette fresque;


le mettant au coeur d’une mouvance de moments

visuels metagraphiques.


article 3a,


la fresque est là présente

tempor/aire/ment

sachant que chaque lettre de

l’alphabet meta graphique est indépendante, et mue

par une énergie telle un électron libre,

ce qui modifie en profondeur ou/et

partiellement la fresque;

donnant des

lectures innombrables, et multiples.

                                                                     



article 4a,


fulgurances

fureurs variées et diverses

fou de joie éc/ art /late ‘


article 5a,


pierres extraites comme des mots

imprononçables

dans cette bouche ouverte aux mots non dits passés

sous silence

ces pierres extraites de cet espace clos, ouvert, tendu, sec,

face au ciel

les nuages comptent ces minéraux       pierres juxtaposées,

collées, éparpillées,

la terre n’est pas meuble mais

                                meublé d’un sol socle sec

réverbérant la lumière dure      et coupante

sur ces pièces de murs pas encore bâtis


l’espèce humaine n’est guère présente

cela aurait pu être avant et après

le temps n’existe plus

seulement de part l’effrittement de la

pierre

en perpétuelle mue ...


article 6a,


pourquoi regarder & poser

le regard

de  face                           perpendiculaire à la

surface

fermer ses paupières pour

mieux voir

le mystère de  la vérité du réel

du corpus intérieur d’où

des/  /bouches

d’ombres révèlent des cristaux

de

mots-images